Quels sont les principaux rôles des ovaires ?

Les ovaires font partie de l’appareil génital féminin. Ils sont reliés par l’utérus à l’aide des trompes de Fallope. Les ovaires fabriquent les ovules. Ils interviennent également dans la production d’œstrogène et de progestérone, deux hormones de sexuels féminins. L’ovule est expulsé des ovaires pour être fécondé. Après la fécondation, ce sont ces hormones féminines qui aident l’embryon à se fixer sur la paroi de l’utérus. Les hormones interviennent également dans la définition des caractères féminins de la fillette, quand celle-ci atteint l’âge de puberté. Ils gèrent également les cycles menstruels de la femme. Les ovaires sont protégés une couche fine de cellules épithéliales. Les réserves d’ovules se situent dans les follicules ovariens. Les ovules tiennent en place dans les ovaires à l’aide des cellules de stroma.

Le cancer de l’ovaire : qu’en est-il en réalité ?

Une femme est atteinte d’un cancer de l’ovaire quand les cellules épithéliales sont envahies par des cellules cancéreuses. Celles-ci forment ensuite ce que les experts appellent la tumeur cancéreuse et recouvrent l’ensemble de l’ovaire. Il arrive que la tumeur grossisse pour atteindre les organes intra-abdominaux. Le cancer peut également se manifester par une tumeur maligne sur le stroma ou sur les follicules ovariens. Plus de 10 % des cas diagnostiqués sont héréditaires. Ces formes de cancer au un rapportent avec le développement des gènes BRCAT responsables du cancer des seins. Plus de 11 mutations ont été découvertes en 2016, et pour minimiser la prolifération du cancer, certains cas nécessitent l’enlèvement des ovaires et des trompes de Fallope.

Cancer de l’ovaire : quelles en sont les causes ?

IL est difficile de déceler les causes exactes du cancer de l’ovaire. Le développement des tumeurs peut être à différents facteurs, et même s’il n’y a pas de facteurs bien définis, une personne peut être atteinte du cancer de l’ovaire. L’âge fait peut-être partie des facteurs à risques qui favorisent l’apparition des tumeurs cancéreuses. Les mutations génétiques et les antécédents familiaux sont également pointés du doigt, tout comme le tabagisme, l’exposition à l’amiante ou encore l’hormothérapie.

Cancer de l’ovaire : quels en sont les symptômes ?

Un diagnostic précoce est tout à fait difficile puisque la maladie attaque lentement. Les personnes victimes de la maladie ne sont prises en charge que quand la maladie est dans un stade avancé. Même si la personne évoque quelques symptômes, ceux-ci peuvent être associés à d’autres pathologies qui n’ont rien avoir. Selon les études, les personnes qui développent les tumeurs cancéreuses ressentent d’une sensation de lourdeur dans le bas du ventre et des constipations. Certaines femmes éprouvent également des douleurs insupportables durant les rapports sexuels. Des saignements peuvent également survenir en dehors des règles. Le grossissement des tumeurs entraîne ces compressions des nerfs et des organes voisins. Le cancer de l’ovaire peut favoriser l’envie de faire pipi, ainsi que des douleurs insupportables dans les jambes et dans le dos. Si la maladie évolue, la patiente peut éprouver des pertes d’appétits ainsi que l’apparition d’un liquide dans l’abdomen.

Ce que révèle une IRM cérébrale

Cet examen important permet d’avoir une image à deux ou trois dimensions de votre cerveau. Mais, il se peut qu’une partie seulement de cet organe soit analysée de près pour identifier précisément un problème.

L’examen est effectué auprès d’un centre d’imagerie médicale.

En fait, c’est la circulation sanguine et l’état des tissus cérébraux qui seront examinés par le médecin. L’IRM permet d’analyser la partie avant du cerveau qui implique le toucher et le mouvement, la vision et l’audition, l’émotion et le raisonnement, l’apprentissage et la température corporelle.

Quant au tronc cérébral, il implique les mouvements des yeux, de la bouche et des muscles involontaires, la faim, la fonction cardiaque, la conscience et les messages sensoriels.

Le cervelet, la partie à l’arrière du cerveau impliquant le mouvement des muscles volontaires, est aussi examiné en IRM du crâne.

Les symptômes nécessitant la prescription d’une IRM

Comme susmentionné, vous devez faire une IRM de la tête si vous avez subi des dommages suite à une blessure au niveau du crâne ou à un accident vasculaire cérébral.

Toutefois, votre médecin peut vous prescrire un tel examen si vous êtes sujet à des vertiges. Si vous présentez aussi d’autres symptômes, comme des crises d’épilepsie, une perte soudaine de mémoire, un changement de comportement, des maux de tête chroniques ou encore des troubles de la vision, vous devez avertir votre médecin qui les examinera de près à travers une IRM.

Le déroulement de l’IRM de la tête

Diverses instructions sont à suivre avant de passer cet examen. Tout d’abord, vous devez mettre au courant votre médecin si vous avez un pacemaker, une valve cardiaque, des éléments en fer non loin de vos yeux ou dans votre tête. Pourquoi cela ? Parce que l’IRM, comme son nom l’indique, utilise un appareil magnétique se comportant comme un aimant.

Ensuite, avant d’entrer dans un tunnel ouvert des deux côtés, vous devez enlever certains vêtements. Pourquoi cela ? Pour éviter que les habits contenant du fer (fermetures ou boutons en fer, par exemple) n’interagissent avec l’appareil de l’IRM. Vous devez aussi enlever vos boucles d’oreilles, votre montre et tout autre bijou. Bien sûr, vous ne pouvez pas garder votre téléphone portable lors de l’examen.

Après, on vous aidera à vous allonger sur le dos sur un lit qui va passer dans le tunnel. Une fois installé, vous devez rester immobile jusqu’à la fin de l’analyse. Vous serez seul dans la salle d’examen, mais l’équipe médicale sera de l’autre côté, derrière une vitre. Le médecin communiquera avec vous grâce à un micro et vous pouvez lui faire signe grâce à une sonnette placée dans l’une de vos mains. Cet examen de 15 à 30 minutes peut être interrompu si besoin.

Appareil auditif Unitron, les principales caractéristiques

Vous devez savoir que l’entreprise Unitron fait partie des leaders dans l’univers des appareils auditifs. Elle est connue comme étant une entreprise qui ne cesse d’améliorer ses produits dans le but de proposer une expérience sonore la plus agréable aux malentendants. Aussi, tout appareil auditif Unitron est performant et vous en trouverez aussi bien en contour d’oreille BTE qu’en version intra-auriculaire très discrète. D’ailleurs, cette entreprise a mis au point l’un des contours d’oreille les plus petits au monde, le fameux Moxi Now. Côté accessoires, l’entreprise possède également une large panoplie, de la mini-commande à distance au collier de transmission en passant par le connecteur TV.

Un appareil auditif pour plus d’efficacité et de confort

Quel que soit l’appareil auditif Unitron que vous choisissez sur https://www.maison-appareil-auditif.be/appareil-auditif/unitron/, il permet sûrement un confort d’écoute exceptionnel et promet une clarté sonore sans pareille. A la pointe de la technologie, la marque offre des audioprothèses innovantes, avec connexion Bluetooth ou rechargeable entre autres choses. En installant l’application nommée uControl, vous pouvez régler à distance votre aide auditive. Certains des appareils auditifs de l’entreprise peuvent être connectés à un smartphone, ce qui veut dire que vous pouvez écouter facilement votre playlist de chansons ou recevoir des appels directement dans l’écouteur de votre appareil. Pour vous donner encore plus de confort, il est également possible de connecter votre prothèse à la télévision, en vous servant d’un accessoire dédié.

Stérilisation : pour éliminer tout risque de contamination

En milieu médical, les germes, microbes et bactéries pullulent et les instruments réutilisables doivent être stérilisés correctement. Sans cela, ils peuvent être source de propagation de toutes sortes de maladies. Dans cet univers, la stérilisation est donc un acte vital et qui doit être entrepris après chaque usage. La stérilisation gamma et bêta et la stérilisation à l’oxyde d’éthylène garantissent une hygiène irréprochable des outils médicaux et éliminent tout risque de contamination. D’autres techniques existent, mais ces modes de stérilisation sont d’une efficacité redoutable. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les professionnels de santé, les cliniques, les hôpitaux et des établissements médicaux mettent en place un tel procédé de stérilisation dans leur centre.

Quels sont les principes de la stérilisation gamma et bêta ?

Cette technique est très utilisée et efficace sur les outils médicaux, les emballages et les produits pharmaceutiques. Ce sont des éléments dont la puissance de l’énergie leur permet d’atteindre l’ADN des micro-organismes visés dans le but de les détruire. Donc, le rayonnement bêta et gamma entrent profondément à l’intérieur des produits et dispositifs pour une stérilisation parfaite. Ce type de rayonnement traverse entièrement les produits garantissant ainsi la stérilisation. De plus, durant le processus, les instruments sont placés dans un espace spécifique pour assurer la sécurité des personnes.

Comment se passe la stérilisation à l’oxyde d’éthylène ?

La stérilisation à l’oxyde d’éthylène n’est pas une nouveauté, mais elle est toujours très efficace. L’action se fait à température basse, environ 60°C et c’est une façon appropriée pour stériliser certains équipements médicaux et pharmaceutiques. C’est tout à fait adapté pour du petit matériel tel que les gants, les seringues, les compresses et d’autres éléments de cette catégorie.

En général, ces accessoires sont fabriqués avec du plastique ou avec du matériau très fragile et très sensible. Donc, il est impossible de les soumettre à une stérilisation à haute température, au risque de les déchirer ou les détériorer. La stérilisation à l’oxyde d’éthylène se fait donc par aspersion de gaz dont le nom est justement oxyde d’éthylène. Ce gaz pénètre profondément les outils pour neutraliser le moindre virus qui s’y loge. Les plastiques thermosensibles et les matières poreuses supportent très bien le procédé utilisant l’oxyde d’éthylène. Ce gaz est parfois mélangé à de l’azote ou à du CO2, selon les résultats attendus. Pour obtenir une stérilisation optimale, il faut opter pour l’un ou l’autre de ces procédés qui ont largement fait leurs preuves.

En ces temps du Covid, ces techniques de stérilisation sont d’une grande importance, aussi bien pour le personnel médical que pour les malades et toute personne qui entre et sort d’un hôpital, d’une clinique, etc.

Les corticoïdes locaux

En cas de poussée d’eczéma, les médecins préconisent souvent l’usage de crèmes à base de cortisone. Celles-ci s’avèrent très efficaces pour soulager les démangeaisons, notamment chez les plus jeunes. Leurs vertus anti-inflammatoires permettent d’atténuer les sensations de brûlure et de picotement ainsi que les gonflements et le suintement. Ce type de crème ne peut s’obtenir sans ordonnance et le traitement peut être poursuivi jusqu’à la disparition complète des lésions. En ce qui concerne sa posologie, vous pouvez l’appliquer deux fois par jour, matin et soir, et ce, jusqu’à ce que vous ne ressentiez plus les démangeaisons. Ensuite, vous pouvez utiliser des crèmes émollientes pour graisser la peau. Elles sont à appliquer deux fois par jour pendant l’hiver, car l’eczéma devient plus intense pendant cette période de l’année. Néanmoins, en été et en hiver, il convient d’appliquer la crème un jour sur deux.

L’huile de coco

Selon cette page, l’huile de coco est, grâce à ses innombrables vertus, un remède efficace pour mettre fin aux démangeaisons dues à l’eczéma. Antifongique, hydratante et cicatrisante, elle a tout pour atténuer les sensations de picotement. Pour qu’elle soit efficace, il est recommandé d’opter pour les huiles bio. Par ailleurs, elles conviennent à tout type de peau, même les plus sensibles. On peut les appliquer plusieurs fois par jour, par exemple, dès que l’on ressent des picotements.

Attention, l’huile de coco est à utiliser sur une peau humide. Aussi, évitez de trop frotter, car une exfoliation excessive entraîne souvent une poussée d’acné. Se sentant agressée, la peau se dessèche et produit un excès de sébum pour se défendre, ce qui peut d’ailleurs fragiliser l’épiderme. Une fois l’huile végétale appliquée délicatement, laissez la peau à l’air libre.

L’huile de nigelle

Cette astuce de grand-mère est très réputée pour son efficacité. En effet, l’huile de nigelle possède une propriété anti-inflammatoire indéniable. C’est pour cela qu’elle est souvent recommandée aux peaux sensibles. Elle possède des vertus à la fois anti-oxydantes et anti-infectieuses permettant à la peau de se régénérer, donc de mettre fin immédiatement à toute sensation désagréable. D’ailleurs, quelques gouttes d’huile de nigelle suffisent amplement pour que le remède soit efficace. Notez que la posologie est de deux par jour (matin et soir).

Pour information, l’huile de nigelle est aussi connue pour ses bienfaits sur l’acné et sur la santé en général.

Un bain frais

Prendre un bain frais, tous les matins, s’avère être l’une des solutions les plus rapides pour calmer l’envie de se gratter. Bien qu’elle soit préconisée pour soulager les démangeaisons de la varicelle, elle permet aussi d’atténuer celles de l’eczéma. Pour l’appliquer, il suffit de préparer un bain en ajoutant une tasse de bicarbonate de soude dans l’eau de la baignoire. À savoir que le bicarbonate est doté d’un pouvoir cicatrisant et apaisant. Ensuite, laissez-le pendant 10 minutes. Puis, vous pouvez prendre la douche. Lorsque vous vous séchez, essuyez délicatement la peau avec une serviette. Il est à noter que vous pouvez prendre le bain autant de fois par jour. Il n’existe aucune contre-indication. Le bicarbonate convient d’ailleurs aux enfants, aux femmes enceintes et aux seniors.

De bonnes habitudes

En fait, il ne faut pas attendre de souffrir d’une constipation avant d’agir. Il y a de bonnes habitudes à cultiver, celles qui vont vous aider à rester en bonne santé et qui vous éviteront la constipation entre autres bienfaits. Par exemple, ayez l’habitude de boire 1,5 à 2 l d’eau par jour, et nous parlons d’eau plate bien évidemment. Si vous constipez, buvez plus que cela et surtout, si vous fournissez beaucoup d’efforts physiques. Prenez également l’habitude de manger davantage d’aliments riches en fibres, du poireau notamment, mais aussi des mangues. Le soir, préparez-vous une soupe à base de légumes tels que des carottes, des haricots verts, des poireaux, etc. Puis, faites de l’exercice régulièrement pour stimuler vos intestins et vous déconstiper.

Consultez

Dans les cas suivants, la meilleure chose à faire, c’est de consulter votre médecin : si vous ressentez des douleurs abdominales intenses et persistantes et si vous êtes dans l’impossibilité d’aller à la selle depuis plusieurs jours. Si vous allez à la selle moins de 3 fois par semaine, si vous saignez au niveau du rectum et si vous devez fournir de gros efforts à chaque fois que vous allez à la selle, il est également temps de consulter votre médecin. Il est possible qu’il vous prescrive des laxatifs ou encore des émollients pour vous soulager mais vous devez continuer à garder vos bonnes habitudes alimentaires. Ce n’est pas une bonne chose de dépendre des médicaments pour aller déféquer, il est toujours préférable que ce soit naturel.

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Les signes de la boulimie

Les crises de suralimentation sont très fréquentes chez les patients atteints de la boulimie. Elles se manifestent par la prise incontrôlée d’une quantité énorme de nourriture, sans pouvoir limiter ses envies. Pendant cette consommation abusive, un patient peut dépasser les 2000 kcals. Les personnes boulimiques ne peuvent pas s’arrêter, même qu’après la crise, elles sont sujettes à un sentiment de mal être et de culpabilité. La honte les envahit, et afin de se débarrasser rapidement des « erreurs » commises, elles adoptent un comportement compensatoire, en tentant de faire ressortir la nourriture par le vomissement. Certaines vont se mettre excessivement au sport, au jeûne, ou à l’usage de médicaments laxatifs, l’objectif étant d’éviter une éventuelle prise de poids.

L’hyperphagie boulimie

L’hyperphagie boulimique, sous une nouvelle forme de boulimie, affiche approximativement les mêmes symptômes. Les crises de suralimentation sont présentes, mais à la différence de la boulimie, les patients n’éprouvent pas l’envie d’éliminer la quantité d’aliments ingurgités. On observe de cette manière que les personnes boulimiques atteignent un poids plus ou moins normal, alors que dans le cas de l’hyperphagie boulimique, les patients se trouvent souvent en surpoids.
Depuis déjà l’année 1970, la boulimie suscite l’intérêt des chercheurs et des scientifiques. La maladie plus répandue que l’anorexie mentale, affectait surtout les jeunes filles. Actuellement encore, les femmes sont plus touchées par la boulimie que les hommes.
Il est difficile de sortir de la boulimie sans l’intervention d’un spécialiste. L’accompagnement se fera en groupe ou individuellement. Pour sa part, le psychothérapeute apportera son soutien dans les processus mentaux, en incitant le patient à s’autoévaluer.

Qu’est-ce qui cause l’apparition des aphtes ?

Les aphtes buccaux ou la stomatite aphteuse ont de causes multiples. Elles peuvent être causées par une blessure après avoir mordu l’intérieur de la bouche sans faire exprès, ce cas est le plus souvent rencontré. Mis à part, les aphtes apparaissent également à cause d’une fatigue physique ou de stress. Ces lésions apparaissent aussi à cause d’allergies à des aliments ou une carence en vitamine B12, en acide folique, en fer et en zinc.

Comment les soigner ?

En guise de solution à long terme, il est nécessaire de consulter son médecin, lui seul pourra vous prescrire un traitement adéquat. Il est très important de voir un médecin si la stomatite aphteuse vous arrive souvent. En effet, cela peut-être l’indicateur d’autres problèmes de santé beaucoup plus graves. Cependant, si cela ne vous arrive pas souvent et que vous vous êtes mordu l’intérieur de la bouche par mégarde, munissez-vous de miel et de coton-tige. Mettez-en un peu sur le bout du coton-tige et appliquez le tout sur l’aphte. L’opération brûle un tout petit peu, mais cela accélère la guérison.

Comment éviter d’avoir une stomatite aphteuse ?

Une bonne hygiène buccale reste le meilleur moyen de s’armer contre la stomatite aphteuse. Pour cela, privilégiez l’usage de la brosse à dents souple et d’un rince-bouche antibactérien. Bien sûr, pour éviter de se blesser intentionnellement, ne parlez pas en mâchant et mastiquez la nourriture doucement. L’identification des potentiels aliments dont vous pourrez être allergique vous évitera bien également d’éventuelles mauvaises surprises.

Quelles sont les causes ?

Une tendinite est souvent due à des mouvements répétitifs effectués pendant une activité sportive ou au travail. Comme son nom l’indique, une tendinite est une inflammation située au niveau des tendons à cause de frottements successifs. Les tendinites les plus courantes sont les tendinites au poignet, au coude, à l’épaule ou au tendon d’Achille. Une autre cause, c’est la pratique d’un sport sans échauffement surtout si c’est un sport que vous n’avez pas l’habitude de pratiquer. De même, le manque d’hydratation peut engendrer des blessures car les muscles et les tendons sont mal irrigués. D’un autre côté, ne faire aucune activité physique entraîne également une tendinite car les tendons perdent toute élasticité.

Soigner une tendinite

Si la douleur grandit et persiste, vous ne devez pas hésiter à consulter un médecin ou un kinésithérapeute qui vous prendra en charge et appliquera une technique adaptée comme le massage des muscles. Il saura également vous guider dans vos gestes et mouvements en rapport avec votre travail ou les activités sportives pour éviter toute récidive. Pour bien traiter une tendinite, les anti-inflammatoires (pilules ou gel) sont de rigueur. Si votre tendinite apparaît après une activité physique, prenez du repos. Cela dit, continuez à bouger doucement et régulièrement l’articulation pour qu’elle ne finisse pas par raidir. Avant et après la pratique d’un sport, ayez le réflexe de toujours vous échauffer et vous étirer.

Comment éviter l’apparition d’un panaris ?

Pour cela, il faut d’abord savoir comment cette infection apparaît. Le panaris est causé par une infection se posant tout autour de l’ongle en général. En fait, le panaris est engendré par la même bactérie qui cause les furoncles : le staphylocoque doré, parfois par un streptocoque.

Les panaris atteignent très souvent les personnes qui ont tendance à se ronger les ongles ou à se couper les ongles trop court. Alors, pour prévenir l’apparition de panaris, il est conseillé de laisser un bord blanc quand on se coupe les ongles afin de protéger la peau. Lors d’activités manuelles comme le jardinage ou le bricolage, il vaut mieux s’armer de gants de manière à préserver les doigts de blessures pouvant s’infecter.

Si vous avez déjà un panaris, que faire ?

Il faut savoir que l’infection bénigne qu’est le panaris peut se compliquer, s’infecter et causer des dégâts plus graves comme une arthrite ou une nécrose cutanée. Vous devez donc agir vite pour empêcher l’infection de se propager.

Si le panaris présente une collection de pus jaune, vous pouvez le percer mais si c’est encore rouge et tendue, il vaut mieux ne pas percer car ce pourrait être dangereux. Le traitement d’un panaris varie en fonction de son évolution. S’il n’y a pas d’abcès, il vous faut nettoyer la plaie et faire des bains antiseptiques fréquents. S’il y a abcès, laissez un professionnel se charger d’exciser l’infection.